top of page
thumb_SURFACE - P1010027_1024_edited.jpg

Qui suis-je ?

Un passionné


Alexandre, passionné par la nature sauvage depuis tout petit, j’allais me réfugier sous les ronces pour me créer des cabanes, je dénichais des fraises oubliées dans les herbes hautes de la ferme voisine abandonnée , je débusquais des bâtons et me frayais des chemins à travers les orties. Je voulais être défricheur. A côté, j’aidais mon papa à jardiner, mais ce que je préférais, c’était la récolte et m’échapper !

A l’adolescence, j’ai mis de côté tout ça, pendant une dizaine d’année.
Et puis pendant mes études musicales et techniques, en 2010, j’ai découvert la permaculture en lisant des articles, en lisant des bouquins, en regardant des vidéos, j’étais animé et excité par tout ce que je lisais !

Je ne voulais plus reprendre des études et me réorienter, j’avais déjà fait 8 ans d’études ! Alors j’ai décidé de reprendre tout ça de manière intuitive, en autodidacte.

Tout ce que je lisais, toutes les rencontres que je faisais, les expériences des autres, les miennes, qu’elles soient ratées ou réussies, tout ce que je lisais davantage me remplissait de joie. La passion et le sens étaient réunis !

Je voulais retrouver le goût de passer du temps dehors, d’observer la nature, et de récolter lorsque c’était la saison, et puis le goût de jardiner est venu naturellement.

Lorsque j’ai profité d’un jardin, j’ai observé, j’ai essayé, et j’ai raté beaucoup de choses. Plein d’entrain, plein d’envie, plein d’énergies, je semais des graines à la volée espérant récolter un beau panier bio bien garni…!

En fait, ce n’était ni facile ni magique, mais je n’étais pas démotivé, bien au contraire !

Puis j’ai eu des enfants, et j’ai appris que les enfants ne sont pas des fous de légumes, en fait. Ce n’est pas un mythe. Par contre, ils raffolent des petits fruits. La première rencontre  avec les fraises, des mûres, des framboises pour notre bébé de 6 mois, je m’en souviendrai toute ma vie ! Le plaisir et l’impression qu’il ne pourrait jamais s’arrêter d’en manger ! Et pour le deuxième bébé, pareil et pour le troisième bébé, pareil. Ce fut si facile et naturel de les voir se régaler dehors !

Alors je suis parti à la recherches des petits fruits méconnus, je voulais qu’on découvre ensemble de nouveaux goûts, le plus de goûts possible. J’ai découvert des fruits originaux : les kiwaïs, les baies de mai, les boysenberries, les loganberries, les goyaves du chili, les framboises noires, les caseilles, bref plus j’en découvrais plus je voulais en découvrir davantage ! J’ai découvert de vieux fruits : les croques-poux, ou groseilliers à maquereaux ou groseilliers anglais ! J’ai fait redécouvrir ces derniers à nos parents qui se souvenaient de ces fruits dans leur enfance dans le jardin de leur propre parents.

Depuis, mes recherches sont toujours d’actualité et j’ai pu en 5 ans trouver des raretés, des pépites, mais aussi dans les basiques (fraises ou framboises) des variétés méconnues, nouvelles ou anciennes et très spécifiques, avec leurs qualités propres, toutes différentes, mais quasiment aucune que l’on peut trouver dans un magasin, car le fruit est trop délicat à transporter et à conserver.

Toutes ces plantes, je veux leur redonner leur chance, les réintroduire dans les jardins et dans les villes, pour les enfants, pour le petit enfant qui reste en chacun de nous !

Je me suis donc mis à les multiplier dans l’idée de les partager.


En parallèle, j’ai toujours continué la culture des légumes avec la sauvegarde de mes graines d’année en année des variétés potagères adaptées à notre climat du Nord.
J’ai développé une manière personnelle d’implanter les légumes parmi les petits fruitiers, et les arbres dans ce qu’on appelle les guildes de plantes : on associe les arbres aux légumes pour qu’ils s’apportent des bénéfices mutuels, pour optimiser l’espace. Les arbres structurent le sol durablement grâce à leurs racines, ils offrent l’ombre, remontent l’eau en surface en cas de sécheresse, déposent sur le sol leurs nutriments grâce à leurs feuilles en automne.
En choisissant les bonnes plantes, il est ainsi possible de créer des endroits au jardin où les récoltes seront variées, et le travail du jardinier largement diminué, voire nul.

J’ai à coeur de partager tout ce que j'ai appris et observé avec vous et de vous aider dans l’implémentation d’un jardin, un jardin-forêt, un potager qui vous ressemble et qui s’accorde avec vos attentes et vos envies.

C'est qui: À propos
Capture d’écran 2022-07-31 à 17.13_edited.jpg
bottom of page